7 octobre 2009
prendre le large
Ce vent si violant, et cette poussière qui s'envole, qui s'enfuit, au loin, trop loin.
Tu es parti.
Je sais pas quoi faire. En attendant, en t'attendant, j'écoute Regina Spektor, allonger sur mon lit, le son de la pluie sur ma fenêtre.
J'attends que le monde bouge. D'être émerveillé, ne pas en croire mes yeux. Halluciner.
Je m'endors, me laisse glisser, doucement dans les cieux. Je me noie, je crois.
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